FRICAINE ET
INTERNATIONALE. Mis à jour le dimanche 29-12-2013 - 16H55PAR: ROGER BONGOS
Les prostituées dans un bar exhibant leurs attributs
Il est souvent difficile de naître en Afrique, en tant que femme, certains les disaient d'une manière fataliste. Aujourd'hui, ce mauvais sort touche également les
jeunes hommes pubères qui n'ont aucun avenir dans le continent.
Les pédo-industries de la pornographie, ont de la marchandise fraîche. Ils quittent les zones où les contrôles sont accrus pour se réfugier dans le continent
poubelle où on déverse toutes formes de pourriture...
L’Asie n'est plus vraiment attractive pour ces criminels, au regard d'une répression contre la pédophilie, prostitution infantile, contre le films X utilisant des
enfants et trafics d'organes. La police internationale (Interpol) agit fermement contre ceux qui commettraient ces crimes dans ces pays étrangers. Mais marches de manœuvres sont assez limités par
rapport à ces criminels qui ont une longueur d'avance sur cette police...Elle essaie de s'adapter, mais le combat est perdue d'avance...
L'ensemble de ces trafics d'après ces ONG mentionnées tourneraient au alentour de 140 milliard par an dans le monde. Difficile de stopper cette manne
financière...
La répression de ces criminels par l'Interpol est axée
sur :
Ces activités peuvent comprendre les trafics d’êtres humains, d’armes et de
stupéfiants, les vols à main armée, la contrefaçon et le blanchiment de fonds. En effet, presque tous les domaines de criminalité auxquels s’intéresse l’Organisation ont un rapport avec la
criminalité organisée.
Cette partie porte sur trois projets mis en place afin de lutter contre des réseaux
criminels très spécialisés, présentant chacun des problèmes particuliers pour la police.
Mais l'Interpole met l'accent sur le cas spécifique qui touche plusieurs pays et
continents, le trafic d'êtres humains.
Traite d’êtres humains
La traite d’êtres humains est une forme de criminalité organisée internationale
assimilable à de l’esclavage moderne qui rapporte des milliards de dollars.
Ses victimes sont recrutées et emmenées d’un pays ou d’une région à l’autre par des
trafiquants qui utilisent la tromperie ou la contrainte.
Elles sont privées de leur autonomie, de leur liberté de mouvement et de leur
libre-arbitre, et soumises à différentes formes de maltraitance physique et psychologique.
Il existe trois
formes principales de traite d'êtres humains
:
À cela vient
s’ajouter un phénomène étroitement lié :le trafic de migrants , qui voit des malfaiteurs faciliter, afin d’en tirer un
avantage financier ou matériel, l’entrée illégale de personnes dans des pays dont elles ne sont ni des ressortissants ni des résidents permanents.
Une fois payée
l’intégralité de la somme due pour le passage, la relation entre le migrant et le trafiquant prend généralement fin.
La réponse d’INTERPOL
La traite d’êtres humains est un crime au regard du droit international et de
nombreux systèmes juridiques nationaux et régionaux. Étant donné la complexité de ce problème, plusieurs stratégies doivent être mises en place à différents niveaux afin de limiter ce
phénomène.
-
Opérations et projets – Actions concrètes sur le terrain visant à
démanteler les réseaux de traite d’êtres humains ;
-
Outils INTEROL
– Outils
techniques et systèmes informatiques permettant d’échanger des informations à l’échelle mondiale ;
-
Partenariats– Renforcer notre approche en œuvrant dans différents secteurs ;
-
Événements et conférences – Réunir des experts du monde
entier.
Tous ces
efforts consentis sont inefficaces compte tenu de la monte de cette criminalité diffuse et insidieuse...
La RDC est
devenue un vivier où on peut dans chaque rue ramasser à la pelle, une pléiade d’individus, candidats volontaires et involontaires de ces actes inhumains et
répréhensibles...
Les
indo-pakistanais, eux sont les véritables champions dans l'esclavage, trafics d'organes et le travail forcé à la barbe et surtout avec la bénédiction des autorités locales qui vivent de ces
monstruosités à l'absence d'une répression réglementée sur ces cas d'espèce.
Les congolais
travaillant chez ces indo-pakistanais sont traités comme des esclaves avec des salaires de misère ne dépassant pas la modique somme de 20 Us dollars américain par mois à raison de 12 heures par
jour. Ce qui fait, moins de 17 euro par mois... Les autorités complices de cette duplicité répriment ceux qui oseraient hausser la voix pour revendiquer leur
droit...
Qui sont
derrière ces maltraitances de la population congolaise, bien évidemment leurs protecteurs. Les autorités militaires, surtout les hauts gradés à l'occurrence les généraux. Les hommes influents
politiques apparentés à la majorité présidentielle, tels que, certains véreux députés de la majorité nommés lors des dernières élections 2011...
Ils passeraient
chaque fin du mois dans des magasins de leurs complices pour prélever les compteurs (taxe de la protection et de l'impunité), comme feraient les commerçants avec la Camorra pour leur
protection...
La
Camorra est un phénomène mafieux urbain à la différence de Cosa
Nostra qui est issu d'un milieu rural. C'est un type de mafia né
à Naples en Italie au début
du xixe siècle mais dont les origines sont plus anciennes...
Qui encourage ces traitements inhumains
contre de la population urbaine et rurale en RDC ?
C'est
simplement l'absence de l'Etat et de l'état de droit. L'absence des réglementations sur le travail des étrangers en RDC, les expatriés y compris... L'absence du salaire minimum autorisé à la
lumière de SMIC horaire, Salaire minimum interprofessionnel de croissance (SMIC).
Une jungle où
les trafiquants de tous poils opérant à découverts sans la moindre crainte de la police encore moins des autorités judiciaires du pays. Ainsi va la vie en
RDC !
Ce phénomène
préoccupe les ONG locales, la société civile congolaise. Ces trafics sont banalisés à de fins dégradantes, pédo-pornographiques et aux trafics d'organes par manque d'horizon ( avenir
)...
Dernièrement la
presse congolaise avait tiré, la sonnette d'alarme sur ces trafics, cette affaire est passée sous silence. Aucune commission d'enquête du parlement sur ces crimes odieux, sans la moindre
déclaration d'un certain Lambert MENDE qui d'ailleurs vit de ces revenus mafieux de ces criminels, puisqu'il observe un silence complice...Comme également tous ses copains du
gouvernement!
Près de 400 cents filles congolaises vivent comme esclaves au Liban, selon le Forum international des femmes de l’espace francophone
(Fifef).
Le Forum international des femmes de l’espace francophone (Fifef) dénonce l’existence d’un réseau de trafic de jeunes filles entre la RDC et le Liban. Selon les
responsables de cette ONG, ces jeunes filles sont recrutées à Kinshasa par une agence, sous prétexte de leur offrir un travail décent au Liban. Arrivées sur place, elles sont vendues à des
familles libanaises et exploitées comme esclaves. Le Fifef a affirmé dimanche 1er décembre avoir réussi à rapatrier cinq filles.
Un réseau de trafic
d’êtres humains existerait entre la RDC et le Liban, selon les témoignages de certaines victimes.
Cette situation est la partie visible de
l'iceberg, la situation est plus que catastrophique. L'ANR Trempée jusqu'au coup dans ces filières mise en place avec KALEV patron de l'ANR en collision et complicité de la mafia Libanais pour
ces trafics juteux...
On sait comment les Libanais opèrent en RDC, pour
à la fois influer sur l'économie de la RDC en jouant au yoyo avec le dollars. Ils font la pluie et le beau temps, comme étant la communauté la plus puissante. En faisant pression sur le pouvoir
d'achat de congolais avec le jeu de l''inflation...
Ils ont été indexés par le secrétariat d' Etat
américain de la défense et la CIA pour leur collision avec « l'organisation terroriste » du Hezbollah. Leur trafic de fausses monnaies et dollars du Congo prend des proportions
inquiétantes, qui au demeurant plombent l'économie de la RDC...
Ces pratiques avaient d’ailleurs étaient
dénoncées à l'époque du dictateur MOBUTU où Kongolu ancien capitaine des Forces Armées Zaïroises, il traînait d'ailleurs, une réputation
sulfureuse qui lui avait valu le surnom de Saddam Hussein.
Resté jusqu'au bout aux côtés de son père pendant les moments difficiles, il meurt en 1998, jouait au parfait faussaire avec l'aide des ses initiateurs
Libanais protégés à l'époque par cette dictature en les octroyant en masse la nationalité Zaïroise...
Ces sésames étaient utilisés dans des fins, de
détruire de plus belle, la réputation de ce peuple et sa souveraineté.
Il ont été également trempés dans la mort
mystérieuse de Mzé Kabila. La filière chiite libanaise était notamment évoquée, avec Elal Baki, alias Héritier, impliqué, d’après l’enquête congolaise, dans le transit de l’argent du complot. «
Onze Libanais, membres de la famille d’Héritier, ont été exécutés dès le lendemain de l’assassinat, et cela sur ordre de celui qui se fait appeler Joseph Kabila, assure le journaliste
Zajtman.
La mafia Libanaise et le pouvoir de
Kinshasa
Cette mafia Libanaise a des tentacules jusqu'en
Iran où ils ont servi à traficoter avec les iraniens pour vendre des barres d uranium à l’ennemi des américains et d’Israël avec la complicité de celui qui trône sur la tête de la RDC. Ils sont
de fait, de mèche avec celui dirige la RDC par défi, en partageant leur secret...
En pleine turbulence électorale en RDC, citant
l’hebdomadaire britannique Sunday Times, l’Agence France Presse (AFP) du dimanche 6 août 2006 avait jeté le pavé dans la marre en divulguant le scandale du trafic dangereux de l’uranium de la
République Démocratique du Congo, en faveur de l’Iran.
«L’hebdomadaire britannique cite un responsable
anonyme des douanes tanzaniennes qui révèle qu’un chargement caché d’uranium 238 à destination du port iranien de Bandar Abbas a été intercepté le 22 octobre 2005 en Tanzanie.», affirme la
dépêche de l’AFP qui précise que Sunday Times « évoque un rapport des Nations Unies, devant être prochainement soumis au Conseil de sécurité et rapportant la découverte en Tanzanie d’une quantité
importante du métal radioactif en provenance d’une mine officiellement fermée mais exploitée en secret à Lubumbashi (RDC). »
Derrière ces trafics, les Libanais qui ont pris
racine en RDC et vivent en conquérants, indisciplinés sans vergogne avec une telle arrogance, même les généraux ont peur de toucher un de leurs cheveux...
Ils se lancent aujourd'hui dans un domaine plus
que lucratif, le trafic d'organes, de la pédo-pornographie. D'ailleurs, le premier film pornographique a été tourné en RDC est l’œuvre d'un sujet Libanais vivant depuis 34 ans en RDC, expulsé par
Mobutu à l'époque... Qui poussait les jeunes filles congolaises de faire sodomiser par les Bergers Allemands et cheveux nains...
Derrière ces drames de la société congolaise, la
souffrance récurrente de la population qui n'a rien d'autre que se prostituer d'une manière inhumaine en s'adonnant à des pratiques vils de la zoophilie...
Pour ce qui concerne les trafics
d'organes
International
HealthCover, dans son dernier rapport donne la liste des hôpitaux au Liban...Une cartographie impression par
habitant. Celui qui veut se faire le nez, la bouche, se refaire le portait... La meilleure destination est le Liban. Celui qui manque de rein, pour une insuffisance rénale, il n'a pas besoin
d'attendre un hypothétiques donneur, le Liban est l'eldorado en la matière...
Un super-marché d'organes venus fraîchement des réfugiés Syriens, Palestiniens et africains...Pour preuve, tapez sur GOOGLE, le « Liban et chirurgie esthétique »
ou « Liban et l'implantation d'organes », vous serez édifiés...
Ces filles et garçons, victimes de leur pauvreté, se lancent dans ces miroirs aux
alouettes et se retrouvent estropiés, handicapés, tués pour leurs organes...Ils serviront pour les Jet Set qui écument les hôpitaux de la place pour l'opération de la rétine, de rein, cœur,
poumons etc...
Croyant que votre enfant est parti pour une aventure, pour avoir un avenir meilleur.
Il se retrouve, malade, détruit, et jeté dans des mouroirs pour une fin atroce avec leurs passeports confisqués...D'autres sont carrément découpés en récupérant les organes essentiels et
incinérés...
Les autorités libanaises ferment les
yeux
Alors que l'interminable guerre civile ravage leur pays depuis mars 2011, de
nombreux réfugiés syriens au Liban sonttentés d'obtenir de l'argent en vendant leurs organes,
révèle une enquête de l'hebdomadaire allemand Spiegel. « Très lucratif, ce marché noir trouve de plus en plus
de vendeurs chezles réfugiés, au point de concurrencer les donneurs
palestiniens. Le manque à gagner leur permet tout juste de passer l'hiver avec leur famille. »
Des connaissances l'ont mis en relation avec un homme du nom d'Abu Hussein, l'intermédiaire d'un groupe de
trafiquants d'organes spécialisés dans les reins. Surnommé « Big Man », Abu Hussein a été recruté il y a quinze mois pour trouver des « reins syriens » quand ses patrons ont compris l'aubaine que représentait l'afflux massif de réfugiés : un million d'entre eux ont trouvé refuge au Liban depuis le début de la
guerre.
Comme nombre d'autres groupes de trafiquants, celui de Big Man officie, en toute discrétion, dans une clinique
clandestine d'un immeuble résidentiel de Beyrouth.
Plus de donneurs que d'acheteurs
Chaque année, ce sont des dizaines de milliers de riches portefeuilles du Moyen-Orient qui viennent à Beyrouth,
réputé pour ses excellents hôpitaux, se faire greffer un nez ou un rein. Les autorités ne prêtent pas grande attention à la nature ou à la provenance des
organes. « Les conditions sont idéales pour que le marché prospère tranquillement
», déplore Luc Noël, un spécialiste des greffes à l'Organisation mondiale de la santé
(OMS).
Les Libanais joignent l'utile à l'agréable, après avoir subi une opération avec succès, on vous présente des
esclaves, de préférence historiquement, une très belle noire, ou un bel homme d'Afrique qu'on a fait miroiter un bel avenir, un bon job au Liban.
Ils assouviront les désirs le plus inaccessibles qu'on puisse imaginer dans ce siècle de transgression. Des
esclaves sexuels qui seront détruits moralement et physiquement au bout de 6 mois de travail de forçat. Au regard d'un acharnement sexuel sans pareil sur les victimes sans défense livrées à leurs
bourreaux sans scrupules.
Ils viennent souvent en Afrique en particulier, en RDC avec des valises pleines de billets verts, des rêves dans
leurs paroles enjolivées par la rêverie. Le piège se referme sur eux et c'est l'hécatombe...
Quelques modalités suffissent à ces criminels qu'on ne donneraient au bon Dieu sans confession, pour
l'accomplissement de ces trafics. L'Etat, les autorités en place, le patron de l'ANR, les Généraux fabriquent des documents avec le service de l’immigration (DGM) pour la traite de ces esclaves
qui auront dans la plupart de cas, une fin tragique, où jeter à la mer ou encore incinérés incognito...
L'industrie de la pornographique et de la pédopornographique en grande
augmentation au Liban...
Les demandes sont telles que, les rabatteurs ont l’embarra du choix pour recruter leurs prochaines victimes
fraîches qui leurs organes sexuels qui n'ont pas encore subis ces atrocités, qui sont encore fonctionnels (en bon état)...
Les pratiques qu'on recense dans des multiples vidéos visionnées, sont d'une violence inouïe et
indescriptible...
-
Celle qui revient souvent et obtient la palme d'or, c'est la zoophilie ;
-
la scatologie relatif aux excréments..Faire sur la personne et qui doit l'appliquer son
corps ;
-
Sado-Maso ;
Ces actes sont soigneusement filmés et vendus dans des réseaux extrêmement opaques, privés et lucratifs qui sont
friands et demandeurs de ces horreurs...Les relations proprement dits conventionnels, sont marginaux dans ces milieux qui sont des adeptes déviationnistes des sensations fortes...
Souvent des adolescents, mineurs sont mises en scène au grand-dam de la police internationale, l'Interpol qui ne
sait à que saint se vouer...
Le Liban rétrogradé en matière de trafic de personnes, selon un rapport
américain
Liban a été rétrogradé vers la catégorie 3 du rapport américain sur le trafic des personnes de 2011, la plus basse du rapport, alors qu’il était classé sur la liste
d’observation de la catégorie 2 pour les trois dernières années.
Cette catégorie comprend les pays qui ne respectent pascomplètement les standards minimum de lutte contre le travail forcé et le trafic
sexuel et ne déploient pas les efforts conséquents pour les atteindre.
Le rapport contient 4 catégories : la catégorie 1 comprend les pays qui sonten conformité avec les normes américaines en termes de trafic de personnes ; la
catégorie 2 qui regroupe les pays qui ne sont pasen conformité avec les normes minimales, mais déploient les efforts significatifs pour le faire.
La liste d’observation de la catégorie 2, qui regroupe les pays qui déploient les efforts significatifs, mais connaissant une
augmentation importanteou un nombre élevé de victimes des formes sévères de trafic humain ; n’ayant pas
fourni de preuves suffisantes de lutte contre le trafic ; ou ayant fourni un engagement pour lutter contre le trafic d’êtres humains pour l’année à venir.
Le rapport fait état de trafic d’êtres d’humains à des fins de travail forcé des femmes et des enfants et de trafic sexuel au Liban en tant que pays source, de
transit et de destination. Les victimes de travail forcé sont originaires de pays comme le Sri Lanka, les Philippines, l’Ethiopie, le Bangladesh, le Népal et Madagascar.
Selon le rapport, bien qu’ayant voyagé initialement au Liban dans le but de faire des travaux domestiques, ces personnes se retrouvent le plus souvent dans des
situations de travail forcé, avec des pratiques de retenue du passeport, le non paiement des salaires, des restrictions sur le déplacement, la violence verbale et physique.
Par ailleurs, le gouvernement libanais a octroyé des visas d’artistes pour 5 595 personnes originaires des pays de l’Est de l’Europe et ceux du Maghreb arabe pour
un travail dans l’industrie des loisirs adultes. Le rapport fait état aussi de prostitution de filles originaires de Syrie, parfois déguisée en mariage prématuré et en mariage
de « plaisir » (Moutaa), un mariage de court terme.
Le rapport note enfin quelques cas de prostitution forcée de Libanaises dans les autres pays arabes.
Le rapport reproche au gouvernement libanais de ne pas avoir fourni les efforts requis pour faire de la lutte contre le trafic humain une priorité nationale malgré les promesses et de ne pas
avoir alloué les ressources nécessaires pour la protection des victimes.
Il reproche de même au gouvernement de ne pas avoir fourni des efforts dans la sensibilisation du publiclibanais autour de ce problème et n’a pas réussi à identifier les victimes
étrangères du trafic d’êtres humains, notamment les victimes de servitude domestique et d’exploitation sexuelle commerciale.
Le gouvernement a, selon le rapport, échoué à condamner juridiquement les auteurs de ce type de trafic et n’a pasassorti d’éventuelles condamnations de sanctions contraignantes.
Le rapport note toutefois quelques avancées au niveau législatif, comme un projet de loi pour améliorer les conditions de travail des travailleurs domestiques et un
autre projet de loi sur la lutte contre le trafic des personnes.
Il a mis en place un bureau et une ligne téléphonique pour recevoir les plaintes des travailleurs domestiques. Enfin, des formations ont été fournies aux membres de
la sécurité générale pour déceler les indicateurs de trafic d’êtres humains, enquêter sur les accusations d’abus et orienter les victimes vers l’aide adéquate.
Dossier d'enquête de Roger BONGOS
Journaliste d'investigation
pour Afrique Rédaction...
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